Choisir de créer l'abondance

 

Quand vous réfléchissez au mot « Manque » que ressentez-vous ? Avez-vous une impression de limitation ? Est-ce que cela provoque en vous un sentiment de peur et d’insécurité ? 

C’est le mode opératoire de la « Mentalité du Manque », qui vous incite à vous protéger et à vous voir comme une victime impuissante de tout ce qui se présente à vous. 

En fait, cette mentalité donne l’impression que ce genre de choses n’arrive qu’à nous : « Il m’a volé », « Ils m’ont rejeté », « Cette chose terrible M’EST arrivée à MOI ». 

Ce n’est pas simplement un état d’esprit. C’est la position de victime. C’est ce que nous appelons la « victimite ». Lorsque nous adoptons cette position, nous sommes toujours la cible, nous avons l’impression d’être cette personne à qui tout arrive de mal. 

Quelques symptômes de « victimite »

* Nous n’investissons pas en nous, ni en notre santé, ni en notre croissance, car nous n’avons plus confiance en nous (ni en personne d’autre d’ailleurs…).
* Nous n’embauchons pas d’employés ou de soutien pour nous aider.
* Nous ne congédions pas la personne qui ne fait plus l’affaire.
* Nous blâmons les autres pour ce qui nous arrive.
* Nous jugeons les autres lorsqu’ils ont des choses que nous n’avons pas.
* Nous cherchons à partager nos histoires à certaines personnes qui vont comprendre nos malheurs.
* Nous faisons du commérage sur des gens en les haïssant et les jugeant.
* Nous endurons. Nous ne prenons pas le temps de voir ce qui est énergivore dans notre entourage (tant au niveau personnel que professionnel).
* Nous tolérons des gens qui n’ont pas la même vision que nous et qui grugent notre énergie.
* Nous endurons tout ce qui n’est pas en harmonie dans notre vie.
* Nous sommes souvent amers et désillusionnés.
* Nous refusons l’aide et les conseils parce que « les autres ne peuvent pas comprendre ce que nous vivons ou ne sont pas assez compétents pour la nature de notre problème ». Il peut arriver que nous acceptions de l’aide ou que nous cherchions une solution, mais, plus souvent qu’autrement, nous arrivons à démontrer que ça ne fonctionnera pas, qu’il n’y a rien à faire.
* Il peut même nous arriver de transposer nos déceptions sur les autres en leur exprimant à quel point la vie est difficile et en leur démontrant toutes les raisons pour lesquelles nos projets n’ont pas fonctionné et pour lesquelles leurs propres projets risquent aussi de ne pas fonctionner… parce que « nous savons beaucoup mieux que n’importe qui, nous l’avons vécu »…
* Notre histoire est toujours pire que celle des autres. Pauvre de nous…

Ce que nous récoltons dans la « victimite » 

Nous obtenons ce que nous tolérons. Car tolérer va de pair avec le fait d’être victime des circonstances. Nous pensons que nous n’avons aucun contrôle de ce qui nous arrive. Nous omettons de nous responsabiliser dans le processus. 

Je peux vous assurer que j’ai obtenu un doctorat en « victimite ». Je veux que vous compreniez que l’essence de ce courriel n’est pas de vous faire sentir honteux. 

En passant, la honte est aussi incluse dans le sentiment de « victimite ». De plusieurs façons la honte nourrit les personnes qui se sentent victimes. Cela peut les garder dans un espace limité et complaisant (considéré confortable, car connu) de pouvoir vivre la vie qu’ils n’osent pas vivre même s’ils la désirent réellement. 

La honte associée à la perspective de l’échec ou à la non-réalisation de son plein potentiel peut drainer énormément d’énergie, diminuer de façon importante l’estime et la confiance en soi et contribuer à demeurer dans un état de victime perpétuel, empêchant toute tentative de s’en sortir. 

Lorsque nous sommes « victimes », les gens tentent le moins possible de nous imposer d’autres « malheurs », d’autres « inconvénients » de peur de nous casser, de nous blesser davantage. Ainsi, cela peut devenir un mode de protection. 

Comment s'en sortir

J’ai remarqué que le changement se produit quand (et je parle par expérience), nous arrivons à créer un espace permettant de voir la possibilité que quelque chose d’autre que la « victimite » existe. 

Lorsque nous allons sur la « Planète Abondance » et que nous devenons le créateur de notre monde, de notre réalité.  

Nous pouvons tous, sans exception, être le créateur de notre histoire et c’est vraiment génial. 

On pourrait penser qu’il faut être artiste pour être créatif. Absolument pas ! Je ne parle pas de création d’œuvres d’art comme la peinture, la haute couture, la fine cuisine, etc. 

Je parle d’être créatif dans ce qu’on veut pour nous-mêmes : nos standards, nos choix, nos limites, notre vision, nos intentions. 

Prendre le temps de créer, c’est sortir de notre zone de victime et reprendre le pouvoir de notre vie. Ce ne sont plus les autres qui nous contrôlent :

* Je bâtis mon entreprise
* J’écris une offre de service
* J’engage une adjointe
* Je congédie cet employé qui ne convient plus
* Je suis mes intentions
* Je choisis mon horaire
* Je détermine les résultats que je veux atteindre et mets en place les actions pour y arriver
* Je crée ma réalité

Nouveaux choix, nouvelle vie

Faire le saut sur la « Planète Abondance », permet de réaliser que nous avons beaucoup plus de maitrise que nous le croyons. Nous avons le choix de créer ce que nous voulons pour nous et notre entreprise. 

Ça peut sembler plus facile à dire qu’à faire… En fait, cela prend de la pratique… tous les jours... Et avec le temps, nous cessons de blâmer les autres et de commérer. Il n’y a plus d’espace ni de tolérance pour les conversations inutiles et infertiles. Le transfert de discours devient automatique et on en vient à rechercher les conversations inspirantes et positives, car elles nous dynamisent et nous nourrissent. 

Ces nouveaux choix sont un prérequis pour devenir un entrepreneur prospère. Vous êtes maintenant dans la catégorie « entrepreneur conscient ». Vous êtes un leader inspirant pour votre équipe, vos clients, vos collaborateurs, votre marketing, votre message. Petit à petit, les choses se placent. Tout va de mieux en mieux. 

En passant, je ne vous dis pas de faire l’autruche et de prétendre que tout sera beau sur « Planète Abondance »… non, non, non… 

Il se peut que vous soyez du type « hyper-sensible » (comme plusieurs entrepreneurs conscients le sont), dans ce cas, vous ressentez plus que la norme. Vous vous sentez plus facilement rejeté, insécure, coupable ou dépassé par les événements. Vous pourriez également ressentir que parfois vous êtes victime des circonstances. Il se pourrait aussi que pendant votre enfance, votre adolescence, ou même votre vie adulte vous ayez été victime… d’abus (physique, verbal, psychologique, sexuel, parental), d’intimidation, etc. 

Le « créateur » en vous n’est peut-être pas tout à fait naturel. Vous n’êtes pas seul dans cette situation et soyez sans inquiétudes, ce n’est surtout pas un gage d’échec, loin de là. Cela veut simplement dire que vous allez devoir accueillir vos émotions et les choisir pour que vous puissiez être toujours assis sur le siège du conducteur.  

Votre intention sera différente. Vous ne voudrez plus voir le monde derrière vos lunettes de victime. Vous allez, lentement mais sûrement, transformer votre intention vers des choix inspirants et gagnants. 

Cette intention, par elle-même, est transformationnelle. 

Est-ce que la « victimite » fait partie de votre vie? Quels seront les premiers choix que vous ferez pour créer votre réalité d'abondance?

Avec tout mon amour de coach,  

Brigitte ;-)  

P.S. Vous connaissez quelqu’un qui se trouve dans ce cercle vicieux et désire reprendre le pouvoir de SA vie ? Partagez-lui cet article. Cette personne vous en sera très reconnaissante !

 

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